JOURNAL DE MA CHAMBRE - PETITE ANECDOTE
JOURNAL DE MA CHAMBRE
Petite anecdote : tout à l'heure je suis allée poster du courrier, j'ai fais un petit tour par le bourg, je suis passée devant une petite rue qui descend sur la promenade le long de la mer, je vois qu'il n'y a pas de barrière donc je décide de passer par là et de remonter un peu plus haut une rue avant le bout de la promenade. Là, qui m'interpelle ? un policier.
- Madame, vous avez emprunté un chemin interdit avec une barrière.
- Non monsieur, il n'y a pas de barrière au bout de cette rue.
- Mais si madame.
- Non, je vous propose de m'accompagner pour vérifier.
- Voulez-vous parier madame ?
- Non pas spécialement, mais je vous demande de m’accompagner
- Écoutez madame, montrez-moi votre attestation, vous savez qu'il y a une amende de 138 euros.
- Non monsieur, je vous demande de m’accompagner.
De guerre lasse, il a obtempéré, il a constaté qu'il n'y avait pas de barrière pour fermer la rue par contre sur l'autre côté (que je n'avais pas emprunté) il y en avait une, donc conclusion :
- Madame la barrière a du se déplacer avec le vent !
(Je me suis retenue de ne pas lui éclater de rire au nez, vu que ce sont des barrières de métal extrêmement lourdes)
- Madame logiquement je devrais vous verbaliser, mais bon…
- Ah ! merci monsieur !
- Je vous rappelle que les plages sont interdites.
- Je le sais monsieur.
Maryvonne
Petite anecdote : tout à l'heure je suis allée poster du courrier, j'ai fais un petit tour par le bourg, je suis passée devant une petite rue qui descend sur la promenade le long de la mer, je vois qu'il n'y a pas de barrière donc je décide de passer par là et de remonter un peu plus haut une rue avant le bout de la promenade. Là, qui m'interpelle ? un policier.
- Madame, vous avez emprunté un chemin interdit avec une barrière.
- Non monsieur, il n'y a pas de barrière au bout de cette rue.
- Mais si madame.
- Non, je vous propose de m'accompagner pour vérifier.
- Voulez-vous parier madame ?
- Non pas spécialement, mais je vous demande de m’accompagner
- Écoutez madame, montrez-moi votre attestation, vous savez qu'il y a une amende de 138 euros.
- Non monsieur, je vous demande de m’accompagner.
De guerre lasse, il a obtempéré, il a constaté qu'il n'y avait pas de barrière pour fermer la rue par contre sur l'autre côté (que je n'avais pas emprunté) il y en avait une, donc conclusion :
- Madame la barrière a du se déplacer avec le vent !
(Je me suis retenue de ne pas lui éclater de rire au nez, vu que ce sont des barrières de métal extrêmement lourdes)
- Madame logiquement je devrais vous verbaliser, mais bon…
- Ah ! merci monsieur !
- Je vous rappelle que les plages sont interdites.
- Je le sais monsieur.
Maryvonne
