DE MA FENÊTRE
Ma chambre se trouve à l’étage côté jardin, elle est petite, mais tous les après-midi elle est baignée par le soleil et pendant le confinement c’est un plaisir d’ouvrir grand la fenêtre et de regarder le camélia en fleurs, le cerisier qui sous la chaleur des derniers jours commence à s’épanouir et promet, dans quelques semaines, de jolis fruits rouges et juteux, des clafoutis pour les goûters et le partage avec les voisins et la famille...
Le matin ce sont les oiseaux qui me réveillent et me donnent envie de me lever et de profiter de cette nouvelle journée printanière...
Ma chambre c’est mon refuge, allongée sur le lit, calée avec un oreiller je poursuis la lecture de mon livre pendant une heure l’après-midi, mais souvent je lève les yeux vers la fenêtre et regarde le ciel bleu, écoute le bruit d’une tondeuse au loin, les cris des enfants qui jouent dans le jardin voisin... La vie de tous les jours, je l’entends sans bouger, elle arrive jusque dans ma chambre, alors je ferme les yeux et une sorte de plénitude me remplit de joie.
Françoise - Cholet
Ma chambre se trouve à l’étage côté jardin, elle est petite, mais tous les après-midi elle est baignée par le soleil et pendant le confinement c’est un plaisir d’ouvrir grand la fenêtre et de regarder le camélia en fleurs, le cerisier qui sous la chaleur des derniers jours commence à s’épanouir et promet, dans quelques semaines, de jolis fruits rouges et juteux, des clafoutis pour les goûters et le partage avec les voisins et la famille...
Le matin ce sont les oiseaux qui me réveillent et me donnent envie de me lever et de profiter de cette nouvelle journée printanière...
Ma chambre c’est mon refuge, allongée sur le lit, calée avec un oreiller je poursuis la lecture de mon livre pendant une heure l’après-midi, mais souvent je lève les yeux vers la fenêtre et regarde le ciel bleu, écoute le bruit d’une tondeuse au loin, les cris des enfants qui jouent dans le jardin voisin... La vie de tous les jours, je l’entends sans bouger, elle arrive jusque dans ma chambre, alors je ferme les yeux et une sorte de plénitude me remplit de joie.
Françoise - Cholet
